LES NOMS CITES DANS LE TEXTE
A/ LES GROSSES POINTURES
Bernard REYNES
Membre de l'UMP, Bernard Reynès est élu Maire de Châteaurenard (Bouches-du-Rhône) depuis mars 2001 ; il est élu député le 17 juin 2007, pour la XIIIe législature, dans la 15e circonscription des Bouches-du-Rhône en battant, au second tour, le député sortant Léon Vachet avec 61,65 % des suffrages[1]. Il conserve son mandat de député lors des élections du 17 juin 2012 avec 41,46 % des suffrages (contre 35,93 pour le candidat PS et 22,47 pour celui du FN).
Le 11 novembre 2013, lors de la commémoration de l'Armistice de 1918, il est attaqué et blessé de plusieurs coups de couteaux par un individu qui s'était glissé dans la foule.
Sur le plan politique, il adhère au Rassemblement pour la République (RPR) en 1977 et exerce en son sein la charge de secrétaire de la 1re circonscription du Gard de 1984 à 1989. En 1992, Alain Juppé le nomme secrétaire départemental du RPR. Il est secrétaire départemental de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) et membre du bureau politique national.
En 1983, il devient adjoint au maire de Nîmes, de Jean Bousquet, délégué à l'Urbanisme. En 1986, il est élu au conseil régional de Languedoc-Roussillon et réélu en 1992 et 1998. En 1988, il remporte le siège de conseiller général du premier canton de Nîmes qu’il conserve en 1994, 2001 et 2008.
En 1997, il est suppléant du député sortant Jean-Marie André, candidat à sa réélection. Il est battu par Alain Fabre-Pujol.
Aux élections municipales de mars 2001, il est élu maire de Nîmes sur une liste d'alliance RPR-UDF avec Yvan Lachaud et Franck Proust. Il gagne face à la liste de gauche menée par le maire sortant Alain Clary. Il est réélu en mars 2008. Parallèlement, il participe à la création de la Communauté d'agglomération Nîmes Métropole dont il prend la présidence en 2002.
En 2007, il devient président du Conseil d'orientation du forum pour la gestion des villes et des collectivités territoriales. Il exerce également des fonctions au sein du Conseil d’administration du Centre national pour le Développement du Sport (CNDS) et de l'École des mines d'Alès. Il a mené deux missions nationales. L’une consacrée au statut des sapeurs pompiers volontaires, l’autre relative aux moyens de prévision et de prévention des inondations, confiée par le président de la République, Nicolas Sarkozy.
En septembre 2008, il est élu sénateur du Gard, avec comme suppléante Vivette Lopez, maire de Mus. Il intègre la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées. Suite au renouvellement des commissions, il est élu vice-président de la Section Tauromachie du Groupe d'étude sur l'élevage.
En 2010, il est condamné à une amende de 15 000 euros pour prise illégale d'intérêt par la cour d'appel de Nîmes dans une affaire immobilière, dite « du Diamant noir », datant de mai 2003.
En février 2013, dans le cadre de la direction « partagée » entre Jean-François Copé et François Fillon, il devient vice-président de l’UMP, lors de la seconde vague de nomination après celle de janvier, en plus du vice-président délégué Luc Chatel, en poste depuis novembre 2012.
B/ LE LAMPISTE ...
Cyril JUGLARET : C'est le candidat officiel de l'UMP aux élections municipales d'ARLES pour 2014 … Elu en 2008, on ne l'entendra pas pendant 5 ans en Conseil Municipal ; pas même en matière d'insécurité quand la ville fut mise à sac ! ... Ses interventions en Conseil Municipal ne commencent qu'à partir de MARS 2013...
QUESTION 1 : A – t – il OUI ou NON travaillé pour les collectivités locales des BDR ? La réponse est OUI ! Son nom figure en effet sur une note du Conseil Général en date du 01/02/2010 où Monsieur Cyril JUGLARET, figure sous le titre d'Inspecteur Aide Sociale à l’Enfance du secteur d’Arles.
QUESTION 2 : Quand a – t – il été muté sur NIMES ? Il est vrai qu'il n'a laissé aucune trace de son « travail » au service des sports de Nîmes... Seule une enquête administrative permettra de faire le clair sur cette interrogation... Seconde piste : posez – lui la question...
Mais, depuis avril 2013, époque où le grand public apprend qu'il sera le candidat UMP sur ARLES, il est assisté par au moins deux fonctionnaires travaillant sur NIMES :
Mickael Couzigou :Directeur des arènes de Nîmes et du théâtre antique d'Orange.
Eric Teyssier : Maître de Conférence en Histoire Romaine - Université de Nîmes.
QUESTION 3 : Qui peut – être à l'origine du message ? C'est bien entendu l'interrogation la plus importante aux yeux des observateurs...
La ou les personnes qui ont rédigé la lettre anonyme, sont parfaitement au courant de cette affaire ...
Il faut savoir que sur ARLES, l'UMP est très divisé, au moins depuis l'affaire CHASSAING... Il y a en effet chez les militants locaux d'un côté ceux qui ne veulent pas d'alliance avec le Front National et ceux qui souhaitent un rapprochement ... Et qui l'ont fait !...
Les seconds semblent majoritaires, puis qu’aux dernières législatives, en votant pour Valérie LAUPIES, ils ont fait trembler Michel VAUZELLE, au point que le Député arlésien, Président de PACA a été réélu d'une extrême justesse …
Dans cette optique : Le « torpillage » de JUGLARET serait donc un règlement de comptes au sein même de l'UMP …
Mais force est de constater qu'à ce jour (dimanche 9 février 2014), rien n'est paru dans la presse locale, que le candidat JUGLARET continue sa campagne et qu'il n'a pipé mot …
QUI VIVRA VERRA !