Les "jardiniers" sont unanimes: "cette année, rien ne pousse" !
Aussi, lors de cette année 2013, qui s'annonce climatologiquement catastrophique, c'est peut - être le moment de parler du
travail scientifique de l'abbé Théophile MOREUX en général, et de ses recherches sur les influences de l'astre solaire
sur la Terre, en particulier...
Qu'en est -il au juste ?
À l'époque où travaille et écrit Moreux, le soleil reste encore très mystérieux pour les astronomes. On ignore le moteur de son
activité. On ne sait rien sur l'origine de son rayonnement. Son magnétisme n'a pas été décelé. Moreux s'intéresse, commme de nombreux astronomes, aux fameuses « taches solaires ». En 1900, il écrit Le problème solaire et Flammarion accepte d'en écrire la préface. Il y fait le point des
connaissances concernant le soleil, évoque les théories de l'époque, celle de Secchi (mort en 1878), celle de l'astronome français Hervé Faye, mais les réfute toutes deux et propose ses propres
hypothèses. Selon l'abbé Moreux, les taches solaires seraient « des régions hyperthermiques » et constitueraient des centres de hautes pressions, à la différence des protubérances et des facules.
« Sa théorie peut faire sourire aujourd'hui, écrit P. de la Cotardière, mais dans le contexte de l'époque, elle apparaît plausible, d'autant que son exposé ne manque pas de
rigueur.»
Esprit original, Théophile Moreux n'hésite pas à proposer des théories et faire des hypothèses. Il oriente ses recherches et ses
observations sur les interactions possibles entre l'activité solaire et les phénomènes météo.
Il propose l'idée selon laquelle il existerait une corrélation entre l'activité du soleil et le rythme et le volume des
précipitations sur terre. Ces recherches font l'objet d'une communication à l'Académie des sciences, puis d'un article qui parait dans le New York Herald sous le titre «
L'activité solaire et les pluies » Il cherche également à mettre en évidence des
rapports entre l'activité solaire et l'activité volcanique terrestre ou encore les tremblements de terre.
Sur la base de ces spéculations, il « prédit » le tremblement de terre de San Francisco ainsi que celui qui secoue la Provence en 1909.

Dans son Introduction à la météorologie (1904), il se propose de poser les fondements de ce qu'il appelle « la
météorologie endogène » qui prédirait non seulement le temps qu'il fera, mais aussi séismes, inondations, etc …
ALERTE LOCALE : C'est un drame humain qui se prépare ! La prochaine
secousse sismique (même légère) provoquera à minima le glissement de la Camargue vers les hauts fonds car elle causera l'effrondement de la côte saintoise et par là même la submersion de TOUTE la
Camargue (d'Aigues - Mortes à Fos sur Mer) !
A SUIVRE